Bonjour, je voudrait répondre autant que je le peus à vos interrogations sur l’éducation de votre fils.
J’ai maintenant 18 ans et j’ai été élevée depuis petite dans la dissidence. Ma mère connait Soral et le suit depuis très longtemps et j’ai grandit avec ses idées. Cependant, je n’ai évidemment pas été au courant de tout dès ma petite enfance mais j’ai été éduqué dans une certaine méfiance de l’école et de la politique. Progressivement, ma mère m’a parlé de certains sujets et j’ai ensuite fais mes propres recherches.
Ce qui est sage je pense c’est de bien insister sur le fait qu’il ne faut pas avaler tout ce qui est dit à l’école mais sans pour autant le contester à voix haute. Je n’ai jamais eu de problèmes avec mes professeurs même si je leur posais parfois des questions auxquelles il ne savait pas quoi répondre.
Concernant les autres élèves, je n’ai jamais eut énormément d’amis au primaire et collège parce que je me sentait en décalage avec les autres, du point de vue de mes préoccupations politique et religieuse(je suis musulmane).
En entrant au lycée (un lycée militaire), j’ai trouvé quelques patriotes avec qui parler et nous avions de longs débats (j’essayais notamment de leur faire comprendre que l’ennemi n’était pas l’islam) et ils étaient étonnés de voir que j’étais royaliste. C’était une période très enrichissante et j’ai beaucoup appris.
Aujourd’hui en prépa, je tâtonne pour trouver des gens assez ouverts pour ne pas être fichée comme facho si je leur parle.
En définitive, je pense que l’important est d’exercer l’esprit critique dès le plus jeune âge et d’ensuite sensibiliser l’enfant à des sujets plus précis. Cela dit, j’admet qu’en 18 ans, les programmes ce sont dégradés et continuent à régresser (théorie du genre, histoire, ...). Il reste également l’alternative du privé catho voire de l’école à la maison.
J’espère que mon témoignage sera utile et je vous souhaite bonne chance !