Les femmes face au capitalisme
14 janvier 2017 23:27, par kasiarMouais, à part le fait que je suis d’accord pour dire que la mécanisation des travaux manuels a permis aux femmes et accessoirement d’accéder dans le monde du travail, je ne vois pas en quoi celà est une tare qu’il y ai des métiers "féminins" et "masculins".
Puis je ne vois pas en quoi les femmes ont été forcées, et surtout pas qui pour accéder à ces dits-métiers. Depuis la nuit des temps la femme enfante et allaite, rien que celà c’est un « métier imposé » à la femme par sa condition naturelle, à part les apprentis sorciers modernes qui pourrait prétendre qu’il s’agit là d’une discrimination « patriarcale » ou « capitaliste » ?
C’était peut-être vrai à cette époque. Plus depuis la dernière crise en 2008, où le seuil du chômage des hommes passe au dessus de celui des femmes. Donc le fait de dire qu’elles ont du mal à s’insérer professionnellement me fait doucement marrer, surtout que c’est de plus en plus le contraire à cause de la féminisation de la société et du politiquement correct et des quotas de femmes.
Ensuite les femmes élèvent un enfant seules, mais si les femmes étaient moins dans la défensive pour tout et n’importe quoi envers leur mari parce que la société leur donne beaucoup de droits y compris celui de tuer un mari « violent », normal que les hommes les abandonnent enfin pour une grande majorité.
En attendant je vois plus d’hommes dormir dehors par des températures négatives que de femmes, donc bon.
Et enfin le meilleur pour la fin. Les métiers sous-payés cités dans l’article sont exercés majoritairement par des femmes ressortissantes d’un pays étranger ou des étudiantes. Donc à partir de là on peut également extrapoler et affirmer de façon péremptoire que le capital est « raciste » ou « antijeune ».
Ensuite oui, monter dans des pylônes à haute tension, combattre au front et avoir une hernie à 45 ans, c’est tout même plus éprouvante qu’un petit bobo psychologique
Cet article ressemble à une véritable intox, qui en le lisant au départ donne l’impression que l’auteur va avoir une vision quelque peu objective, mais en fait non, c’est encore la bonne vieille propagande soixante-huitarde recyclée en vain. Dommage qu’il y ait quelques paragraphes qui gâche l’intérêt de cet article.