Propos de Zemmour sur les terroristes : l’enquête classée
30 janvier 2017 06:45, par CrokeyJe suis un peu d’accord avec ce qu’il dit. Pas totalement ! Mais en parti.
Parce que oui, il a raison lorsqu’il dit, qu’on peut très bien combattre nos ennemis, sans se permettre pour autant de les mépriser. Notre but, c’est d’empêcher l’ennemi de nous nuire, non ? Mais quel est l’intérêt de leur trouver tout les défauts de la terre et les mépriser au plus au point ? C’est un bonus, c’est ça ? Ca rapporte quoi ? A part celle d’être un gros beauf, un sale con, ça ne rapporte que dalle. Donc oui, il a raison. Battez vous contre eux, mais fermez vos sales gueules. Vos propos, face à vos ennemis, ne vous sont d’aucune utilité, à part ameuter et exciter les gros cons et abrutis environnants, qu’ils soient de votre camp ou non, qu’ils soient malin ou pas. Mais ça n’attirera surement pas les gens intelligents, car les gens intelligent, savent que mépriser l’ennemi, c’est cruel, con, et inutile. Donc combattez les, mais combattez les sagement. Combattez sans mépriser. Il me semble qu’il fût un temps, les Japonais faisaient ça. Ils tuaient un ennemis, puis ensuite, ils priaient pour lui. Car leur but, c’était de défendre leur cause. Pas de mépriser l’ennemi, qui n’était en soit, rien d’autre, que l’instrument de la cause adverse. Une cause contre une autre, c’est un fascisme contre un autre. Et leurs instruments, sont partagé entre des intéressés contre d’autres, et/ou, des engrenés contre d’autres. Donc dans tout ça, lorsqu’on se permet de prétendre que nous et notre cause, valent mieux que celle de l’adversaire, c’est idiot de mépriser l’adversaire en question, alors qu’il est mort, qu’il aura finalement été combattu. Combattez, mais restez sage. Et la sagesse, commence dans l’esprit. Car si vous réagissez [totalement] comme votre ennemi, alors cela voudra dire que vous ne valez pas mieux que lui, et que votre cause ne sera pas en reste. Ca voudra dire que vous n’aviez même pas pris le temps de réfléchir à tout ce qui pouvait vous faire défaut, à vous, et votre cause. Que vous ne connaissez même pas votre propre cruauté, mais que pourtant, elle est finalement bien là.