Les contradictions racialistes de Pascal Mancini
6 mars 2017 16:09, par H. K. Daghlian
Ils me font bien rire ceux qui parlent de gènes en s’appuyant dessus comme s’ils prouvaient quelque chose. Caucasien par là, asiatique par là bas, une touche d’africain bien noire par ici et j’en passe, à les écouter, nous sommes tous à 98% des chimpanzés. (Dit au passage, je ne crois pas que notre arrière grand père soit un singe, pas plus qu’un lézard qui en aurait eu assez de barboter dans la flotte et qui se serait découvert la capacité de marcher en voulant bronzer sur les plages du permien).
Par ailleurs, je tiens à rappeler que les gènes peuvent être transmis dans des circonstances peu gratifiantes, je passe les exemples mais les guerres et les invasions sont assez éloquentes.
S’il faut résumer l’humain à une suite de molécules dont l’agencement fait la valeur, on passe à coté de ce qui fait de nous des humains : l’âme et la conscience, et un cran en dessous la culture transmise, sinon c’est une réduction bien maladroite fruit d’esprits étroitement formatés.