Netanyahou à Poutine : "Israël poursuivra ses frappes en Syrie"
24 mars 2017 01:14, par SedetiamSi l’on savait qu’un S-200 (300, 400, 500 itoo) est destiné à intercepter un avion/missile volant en direction de son objectif, non pas s’en éloignant, nous pourrions demander à Bibi de nous expliquer ce que faisait ce S-200 au Nord de Jérusalem (où il n’y a pas de terrain d’aviation) avant d’être intercepté par le Khetz.
Sachant aussi que les Syriens qui l’avaient belle dans les années 80 et qui ont pris une ramassée, ne se seraient jamais risqués, en l’état actuel de leur armée et matériel, à tirer sur ce bruyant voisin. Donc qui a donné l’ordre dans le même temps qu’il a convoqué une deuxième fois l’ambassadeur israélien pour être retourné en Syrie avec un drone afin de buter Yasser A-Sayad, officier du groupe des Forces de Protection de la Patrie ?
Qui ?
Si ce n’est le patron...
Par ailleurs, aussi grandes bouches soient-ils à la tête de cette terre qui semble plus têtue que promise, Bibi et plus encore son "ennAmi" Avigdor le Moldave, qui ne veulent se laisser ordonner par qui que ce soit le fait ou non de survoler quelque État que ce soit au nom de la "sécurité" de leur entité chérie, devraient garder à l’esprit que, ni le petit Bonaparte, ni le petit Adolf ne sont venus à bout de la Russie.
Et l’on peut dire qu’il ne s’agissait pas de nains de jardin dans la partie qui était la leur.
Par ailleurs, le Hezbollah semble assez malin que de prévoir ses chargements plus profondément au coeur de la Syrie, au regard du contexte actuel, obligeant les zingues de Tsahal à pénétrer d’autres territoires en rase-motte, depuis que Vlad veille au grain. Auquel cas contraire la suprémaciste fierté y serait allée tambour battant.
C’est donc le discours d’un fier ; "comme s’il avait un bar tabac", aurait dit Michel.