Un jour en France : lundi 3 avril 2017
4 avril 2017 07:58, par H. K. Daghlian
Il fut un temps où un artiste était capable de changer le cours de la politique en y étant opposé, possédait un intellect certain et une très grande sensibilité pour tout ce qui l’entoure, y compris ses semblables. Une aptitude hors pairs à l’expression de l’empathie faisait que le "peuple" aimait ses artistes.
Maintenant ? C’est celui qui arrive à montrer son cul sous son meilleur jour et qui est capable de faire des usages impurs de sa langue et de sa bouche, et même avec son trou de balle - qui n’est sensé produire que de l’impureté, de courir après l’argent illusion en croyant qu’il est possible de nager avec le courant tout en y étant opposé, opposition impérative pour l’amour des braves gens (je n’ai jamais pu nager à reculons, reconnaissons leur ce mérite). Quid des enculés des restos du cœur...euh pardon, des enfoirés qui s’érigent en donneurs de leçons dont ils n’ont visiblement aucune compréhension.
Niveau artiste, franchement, il ne vaudrait mieux pas aller au delà de la fin des années 70, le reste a profité de la marée descendante, et ceux qui on suivi se sont contenté de ramasser les coquillages (vides). Les contemporains ? Je préfère m’arrêter ici.