Quand les icônes déconnent
1er mai 2017 15:21, par Maurice
Fausse radicalité (qui se situe uniquement sur le plan politique et qui ignore que la radicalité puisse être aussi morale ou spirituelle (ce qu’avait parfaitement compris Céline, lui, contrairement à Félix Niesche)), goût prononcé pour la division (taper sur Dieudonné, Meyssan et de Benoist, une priorité visiblement pour l’auteur. Narcissisme des petites différences, quand tu nous tiens !) à l’opposé de toutes les valeurs affichées d’E&R (je pense par exemple à l’appel de Soral à l’union des dissidents dans le journal Flash), vison manichéenne et dichotomique avec les élites dans le rôle des méchants et le peuple dans celui des gentils (eh oui, Dieudonné, en tant qu’humouriste, est un bien plus grand analyste politique que Mr Niesche)...