Gilad Atzmon sur Macron : "Votre gouvernement est plus intéressé par le crédit que par le travail"
10 mai 2017 15:14, par Francois DesvignesC’est une erreur de croire que l’Etat profond souhaite une masse de consommateurs pour écouler ses productions.
Car vous ne pouvez pas dire en même temps qu’il cherche des consommateurs et qu’il condamne le travail, attendu que la consommation solvable suppose une rémunération réelle, contrepartie du travail reel.
Nos maitres savent pertinemment que le capital sans le travail ne peut rien qu’une fiction spéculative (qui dure ordinairement que le temps des illusions), alors que le travail privé de capital pourrait encore tout puisque c’est ainsi que Cro magnon a commencé notre épopée capitalistique.(On lui doit tout !)
Nos maitres saccagent le travail par la dette.
Ils vivent de la dette, prospèrent sur la dette, organisent et amplifient la dette qui les nourrit et nous tue.
C’est leur unique fin et leur unique moyen : notre destruction par la dette.
L’I.V.G. l’immmigration de masse, l’ubérisation, les délocalisations, la guerre de Syrie, le vieillisement de la population, les lois libertaires sont tous tendus vers un but, leur résultat : la dette.
Pourquoi puisque ça appauvrit ?
D’abord, pas si vous êtes banquier prêteur de billets de monopoly (comme Macron)
Ensuite et surtout : la dette partout de tous aura un résultat final, celui recherché, la mort de tous partout.
La mort au sens propre : c’est sa conséquence finale. La dette tue. C’est son objet caché.
500 000 000 d’habitants disent les pierres de Georgia Guidestone : croyez les, leurs auteurs sont restés secrets.
Pour obtenir ce résultat, (rayer 7 milliards de personnes avec leur consentement non éclairé), la dette doit croître, les capacités humaines et/ou matérielles de la rembourser s’éteindre : vieillissement, appauvrissement, aliénation, chaos, ignorance, guerres.
Oui, même nos écoles de crétins concourent à la dette.
Maintenant on comprend mieux que la loi Veil et la guerre d’afghanistan ou de Lybie avaient le même but : notre endettement par l’immigration de masse et les retraites à bout de souffle
C’est du sabotage civilisationnel par la dette, un génocide planétaire.
De la part de leurs auteurs c’est religieux : c’est un acte de Foi, pas de Raison.
Donc la logique mercantile rapportée à cette politique est un contresens.
Ce n’est pas le crédit comme moyen de profit mais la dette comme arme génocidaire, la cause la plus parfaite et la conséquence inéluctable du meurtre planétaire.
Une nouveauté.
Bienvenu dans le meilleur des mondes : n’avons-nous pas voté Macron ?