Personnellement je l’ai vraiment admiré lorsqu’il interpellait les membres du parlement, lorsqu’il disait clairement ce que personne n’avait jamais osé dire auparavant, par exemple, à propos des enfants séquestrés et violés par de hautes personnalités.
S’il a dévissé de la paroi à un moment, que ce soit par cupidité ou par incapacité d’assumer les conséquences de sa position à contre-courant, pour lui-même ou pour ses proches, je ne crois quand même pas, qu’il soit possible de critiquer son choix, parce qu’il faut se projeter soi-même dans cette situation critique et non pas remplacer son degré d’engagement et de courage personnel par celui de M. Soral, de M. Dieudonné ou de M. Faurisson.
Dans la vie on ne peut jamais s’avancer et prétendre qu’on a la maitrise sur tout. Il arrive dans l’action qu’on surprenne soi-même ses certitudes et ses convictions.
C’est d’ailleurs ainsi qu’on apprend, je pense.