Italie : les contrebandiers de cigarettes se muent en passeurs de migrants
7 juin 2017 11:26, par jemigreA Paris tous les jours, immense file de migrants rue Doudeauville pour des papiers, en face de l’école primaire.
75 à 80% de Subsahariens.
Les bibliothèques du quartier servent de relais internet et recharge de téléphones portables à ces migrants qui parfois y passent des heures.
Quartier Pajol rénové les (plutôt jeunes) bobos pas très riches cohabitent façon apartheid avec les migrants et les collégiens-lycéens d’origine africaine (bruyants) dont l’endroit regorge. Les cafés sont blancs-beiges (pleins de joyeux buveurs de bière dans un boucan musical mondialisé) ou noirs-beiges, ou noirs ou beiges. Pas vraiment de mélange. Cet apartheid n’empêche pas la sympathie verbale et gustative affichée des bobos versus les migrants et immigrés, l’inverse n’existant pas.
Tous les espaces verts alentour sont remplis de migrants et d’immigrés, qui eux non plus ne se mélangent pas.
L’auberge de jeunesse Pajol, dont l’accès terrasse avec vue était ouvert à tous, est désormais fermée totalement aux non-résidents. Ses résidents, aujourd’hui probablement des migrants, placés là par l’administration (Environ 40 € la nuit en dortoir normalement), bénéficient du vacarme des fêtards de la place, juste sous leurs fenêtres, jusqu’à tard dans la nuit.
Les auberges de jeunesse furent conçues à l’origine pour faire visiter les beautés paysagères de l’Europe à la jeunesse européenne sportive, enthousiaste, autonome, curieuse de tout. Il semble qu’elles deviennent, comme l’hôtellerie bon marché, des réservoirs à migrants. A quoi sont-ils destinés, puisqu’il n’y a pas de travail ? Faire une concurrence de la faim aux Parisiens, lors de troubles futurs ? Chasser du bisounours peu prolifique pour le remplacer par un bétail électoral plus rentable ?
Quant à faire baisser les prix, ça marche modérément. C’est le manque d’espace pour vivre qui fait monter les prix du m².