La sacralisation de l’État d’Israël
9 août 2017 04:06, par Sedetiam"Ces souffrances, c’est terrible, mais pour un peu de souffrance, tu reçois l’infini, ça vaut l’coup !" Le coup pendable qu’ils ont fait à Balfour et aux américains dès 1916 et qui sucent désormais la roue de ces politiques verreuses ?
Mais que l’on se rassure, d’autres ont connu une ère Shōwa, celle d’un lascar qui bricolait aussi en Asie, se prétendant demi-dieu. C’est déjà plus qu’élu, demi-dieu. Vinrent deux baffes magistrales (au grand dam de milliers de civils) pour régler le précédent de 20 millions de morts afin que notre gugusse baisse son froc et rappelle à tous la supercherie du mythe, quand bien même il reste cent millions de croyants.
Sans compter le deal avec Mc Arthur pour conserver son trône (jusqu’à sa mort) et les rouleaux de papier nécessaires à se...moucher afin que les USA occupent le coin. Car dans le monde des empapaoutés, il n’y a jamais de doublure.
La problématique de la sacralisation, c’est qu’elle doit s’accompagner d’un dogme verrouillant des sociétés "fermées" et recroquevillées sur elles-mêmes. Avec par dessus le maché, une forme d’inquisition. Or parallèlement, le monde s’ouvre (et avec l’Internet, plus vite que prévu) et le combat, autrefois dynastique, reposant désormais sur un fait de guerre odieux comme il en existent d’autres, auxquels certains ou certaines apporteront plus d’ampathie, pour s’en foutre le mois suivant, ne peut tenir dans le temps. Que l’on considère une eschatologie ou non.
Car fatalement, il se retrouvera comme Shlomo Sand, pluralité de juifs anti-sionistes et nombre de sionistes non-juifs.
Déjà qu’il en est qui ne sacralisent pas trop ; en Israël : https://www.youtube.com/watch?v=Omo...