Aulnay-sous-Bois : des "jeunes" attaquent et désarment des policiers
21 août 2017 03:00, par Francois DesvignesSi vous étiez l’Etat profond
Vivant des trafics
Mais pas pour votre argent de poche : pour toutes vos activités illicites et extrêmement nombreuses (guerres, révolutions, sacrifices d’enfants, propagande, corruption à tous les étages, empoisonnement des masses etc)
Donc toutes vos activités
Vous ne voudriez pas que votre classe ouvrière des trafiquants soit empêchée de travailler.
Non plus que les cas sociaux que vous avez fait embaucher dans la police pour faire tout sauf de la police (et empêchent les vrais policiers de travailler) , fassent justement un métier de policier : seulement qu’ils jouent à la police et empêchent leurs collègues de travailler sérieusement.
Donc vous mettrez dans les effectifs des femmes haute comme trois pommes, des gus limite obésité, mélangés à vos pistonnés attendant la retraite, vous les armerez avec des pistolets à eau et vous les équiperez de voitures qui démarrent les jours pairs. Une police façon salade niçoise, la mayo en plus.
Vous les paierez mal et injustement : mal pour qu’ils soient toujours dans un état d’anxiété alimentaire et ainsi n’aient pas les moyens de vous foutre une grève ou pire de réfléchir. Et injustement entre eux pour qu’ils se jalousent, la jalousie devant les empêcher de s’unir contre vous.
Que votre classe ouvrière puisse enfin remplir ses quotas.
Et vous financer vos activités criminelles : les vraies.
C’est vital pour vous.
Et c’est VOTRE argent.
A ... qui vous a proposé des présidents (pas seulement le dernier...) et M qu’il l’est devenu dans un pays que je ne connais pas, son cadres supérieurs de cette organisation criminelle : trafiquants.
Criminels.
Je ne vous dis pas cela pour vous désespérer ou vous faire regretter vos orientations professionnelles, elles largement plus honnêtes donc plus risquées et moins lucratives que celles de nos "cadres", mais pour vous faire voir les choses telles qu’elles sont c’est-à- dire à l’endroit
Ce n’est pas graaaaaaaaaaaave : c’est éternel.
Après vous tirerez sur qui vous voulez : les crouilles, les cas sociaux, les obèses, les pistonnés nos diseurs de bien penser ou nos élus.
Mais un jour vous tirerez.
Et pas avec des pistolets à eau : la vérité finit toujours par se savoir.
Cela aussi c’est éternel.