Alice Weidel, l’impossible candidate de "l’extrême droite" allemande
24 septembre 2017 14:59, par jo
Il faut à l’Allemagne et à la France un Nigel Farage, appuyé sur une partie de l’armée. Quelqu’un de lucide, lettré, qui appelle un chat un chat et n’a peur ni des mots ni des actes.
Cette femme froide et inquiétante défend cependant de bonnes choses : anti-merkel, mais sans nous donner son vrai nom, anti-invasion, retour au Deutsche Mark. On peut penser que c’est mieux que rien.
Au delà de son cas, on peut observer que les déviants de tout ordre s’intéressent beaucoup plus au pouvoir sur les autres, donc à la politique, que les gens normaux. L’envie ou la frustration sont de puissants moteurs pour tenter de renverser l’ordre établi. Pour le moment, l’ordre établi c’est le sionisme et la déviance.