L’entrée en vigueur du CETA : un scandale démocratique
24 septembre 2017 19:18, par Domino
Sur la sécurité, il est bien difficile d’avoir des données objectives tant les études des multinationales comme des écologistes sont biaisées. Les associations (surtout quand elles sont de la taille de multinationales) ne défebdent pas toujoyrs l’intérêt des populations, mais les leurs... Idéalement, il faudrait une recherche scientifique réellement indépendante... Ce devrait être le rôle de l’Etat, s’il ne faisait pas passer l’intérêt du pays derrière d’autres considérations.
Quant à M. Hulot, c’est avant tout un affairiste qui a surfé sur l’écologisme promu par les cercles mondialistes.
Le problème de la souveraineté est évidemment central et ce n’est oas un hasard si le candidat élu était le seul à ne pas contester le CETA.