Charpentier à l’ancienne, ou le retour en force de la tradition
27 octobre 2017 20:01, par TOUCOCe jeune homme transforme des produits bruts (des troncs d’arbres) en produits finis (des charpentes) à la seule force de ses bras. Il produit donc de la richesse.
Cette richesse devrait être matérialisée par l’émission de monnaie émise par le pays dans lequel se trouve ce jeune homme, monnaie qui ne devrait pas retourner entre les mains de l’état, ou tout du moins, n’y retourner que partiellement en échange d’une vie en toute sécurité, avec justice, instruction, soins hospitaliers efficaces et bien évidemment sans production d’intérêts puisque monnaie nationale.
Analysons maintenant le travail de ce jeune homme dans le monde rotschildien :
La création de richesse qu’il a produit de la seule force de ses mains a été matérialisée par l’emission de monnaie d’une banque privée (BCE, FMI...) non adossée à de l’or, et remboursable avec intérêts à cette banque. Que se passe-t-il donc ?
Sur 10 coups de hache :
- 2 vont à l’état (TVA)
- 2 vont au RSI (en échange d’une protection sociale pour les migrants, d’une retraite composé de points boum-boum, et d’une pseudo-prévoyance avec grand grand délai de carence)
- 2 vont à nouveau à l’état (Impôt sur les société cette fois)
- 1 va encore aux communes/collectivités (CVAE (contribution sur la valeur ajoutée des entreprises), CFE(contribution foncière des entreprises), taxe d’enseigne)
- 1 va au comptable (vous savez, celui qui n’est en fait là que pour informer l’état de l’activité détaillée de votre entreprise). Vous ne pensiez pas qu’il était là pour vous quand même ? Comment pourrait-il savoir mieux que vous comment va votre entreprise alors que vous travaillez tous les jours dedans quand lui la re-découvre 1 jour chaque année ?
Il reste donc 2 coups de pioche à notre ami pour vivre (si je ne tiens pas compte de son impôt sur le revenu, de sa taxe d’habitation et de sa taxe foncière, car sinon il ne lui reste qu’un coup de hache pour lui).
Mais, mais, mais, me direz-vous, il doit bien y avoir une contrepartie tout de même dans ce système Rotschildien, sinon, plus personne n’irait bosser (hum hum).
Rassurez-vous, il y en a bien une pour notre jeune ami :
Il bénéficie d’une vie en toute sécurité (attentats du bataclan), d’une justice (mur des cons), d’une bonne instruction (théorie du genre) et de soins hospitaliers efficaces (8h d’attente au service des urgences de certains hôpitaux).
Vous voyez, le système Rotschildien n’est pas ingrât