Holocauste et immigration : Karl Lagerfeld symbole de la schizophrénie allemande ?
13 novembre 2017 00:36, par goy prideLes Allemands n’ont jamais abandonné leur racialisme. Certes très atténué chez les jeunes génération mais toutefois encore bien présent. Les Allemands comme les anglo-saxons et au contraire de la France ont une civilisation basée sur l’identité ethno-raciale. Les grandes civilisations humaines ont toujours oscillé entre deux pôles avec au milieu différents niveaux de gradation : d’un côté les civilisations basées sur la race de l’esprit fondé sur un socle identitaire culturel, linguistique commun et l’ignorance voire la négation de la race biologique. De l’autre à l’opposé les civilisations de la race biologique fondées sur le sang. Ces deux conceptions civilisationnelles ont leurs avantages et talon d’Achille.
En apparté notons la particularité de la civilisation chinoise qui est à la fois une civilisation de l’esprit et de la race. En effet la civilisation chinoise s’est fondé dans un premier temps sur la négation des différences ethno-raciales des peuples indigènes situés à l’intérieur de l’air d’expansion de l’ethnie Han. Il s’est produit un processus massif de sinisation biologique (métissage plus ou moins important selon les régions) et culturel. Une fois ce processus passé toutes les populations sinisées ont été intégrées à l’ethnie Han ayant une forte conscience identitaire et raciale commune, ne subsistant plus que quelques minorités ethniques ayant partiellement résisté au métissage et à la sinisation. La France a également vécu une phase de "francisation" mais n’a pas connu l’émergence d’une conscience ethno-raciale commune, et ceci fut notre force pour en dernière instance devenir notre talon d’achille ! Notre conscience identitaire commune basée sur l’esprit est trop lâche, tend à se déliter aisément face au assaut idéologique du mondialisme. Les liens du sang, même lorsqu’ils sont mythifiés, sont plus forts et durables que les liens de l’esprit.