Mmmmmmaiiiiiiiis ouais ! Staline le serviteur du peuple. Ben voyons, mon couillon ! Et puis quoi encore ?! Staline le doux. Staline le gentillet. Staline, le grand timide.
Staline le super héros qui a lutté contre Hitler, le plus grand salopard de l’espace-temps. Et prétendument les chiffres sont gonflés parce que ce sont les vainqueurs qui écrivent l’histoire, elle est copieuse celle-là. Y a qu’à voir, appliquons ce principe : vous prenez un beau T-shirt avec un marteau et une faucille, et vous vous baladez en ville. Ensuite, vous prenez une beau T-shirt avec une croix gammée, et vous continuez votre balade, en sifflotant. Dans le premier cas, on vous offre des chouquettes, dans le second, vous faites pas trois pas qu’on vous a écorché vif.
Staline, le goulag sans l’aimer. Trois morts (dont deux par glissade), une gastro, quelques lèvres gercées. Je pose quatre, je retiens douze, allez, cent millions de russes éternellement reconnaissants. A un ou deux koulaks près.