Delon qui a fréquenté J.M LE PEN pendant des années, Delon qui a cotoyé Léon DEGRELLE avec lequel il s’est complaisamment laissé photographier dans les années 70, mais Delon qui a toujours trahi le F.N dans ses interviews...
Delon n’a pas tout vu, ni tout connu, surtout pas le courage, ni l’intégrité morale, ni l’honnêteté intellectuelle. Delon ne s’est même pas posé la question du sens profond de la vie : "Qu’as-tu fait de ton talent Alain DELON ?".
Delon, juste un petit manipulateur rempli de lui-même, un misérable faussaire soumis au système du début à la fin, un égotiste creux doté d’une puissante beauté dans sa jeunesse, la beauté du diable !
Mais à la fin, c’est Dieu qui gagne, et c’est ça le sens de la souffrance de Delon à la fin de sa vie dérisoire.