Elkabbach me fait penser à l’attitude de Moati au crépuscule de la vie du Menhir, comme si ce dernier leur renvoyait la nostalgie d’un passé fuyant comme le fluide minéral d’un sablier.
Nous ne sommes pas encore dans l’empathie, mais incontestablement, il y a du respect malgré les divergences, faut dire aussi que Le Pen est l’un des derniers des mohicans, que ce soit d’un point de vue culture politique ou de la persistance de ses idées.
J’oserais même affirmer que Elkabbach éprouve plus de jouissance à interviewer le Menhir que de se coltiner le déshabillé provoquant d’une Aurore Bergé…
Pour le reste, droit dans ses bottes modulo le passage sur le pouvoir, non, il n’a jamais vraiment cru qu’il l’aurait, il n’y était pas préparé, à contrario pensait-on, de Marine, mais lorsqu’on voit son débat face à Macron, on peut également se poser des questions et concernant cet objectif.
MMLP sera-t-elle différente sur ce point précis ? Je le pense.