Répression numérique : la DILCRAH innove
1er avril 2018 16:59, par Lalin
Oui, leur envoyer les contenus "choquants", suivre le traitement - ou plutôt l’absence de taitement-, et constituer un dossier.
Etre prudent aussi, certes. Mais au bout d’un moment, moi dont des membres de la famille sont malheureusement passés par les griffes de la gestapo, dans le meilleur des cas je leur dis d’aller voir Germain (Gaiffe-Cohen).... vous saisissez ?