Si je salue le geste du président algérien, il n’en demeure pas moins vrai que qon pays est le prochain sur la liste des forces sionistes ou assimilées.
Bouteflika le sait, tout comme il sait que sa disparition marquera le début d’une nouvelle ère de chaos pour les algériens et le début d’un exode massif et sans précédent de sa population vers l’Europe, car "qui tient l’Algérie, tient l’Europe".
Michel Debré l’avait bien compris à l’époque de la guerre d’indépendance et les forces atlanto-sionistes qui oeuvrent in fine à la destruction de l’Europe ne font que reprendre à leur compte cette analyse.
Les luttes intestines entre clans et factions rivales pour la succession ne feront que précipiter la chute de cet Etat pivot entre l’Europe et l’Afrique. L’armée perdra son rôle d’arbitre et sa mainmise sur les institutions au profit de groupes djihadistes qui capteront la manne pétrolière comme c’est déjà le cas en Libye.
Cette longue descente aux enfers marquera l’avènement d’un Califat du Couchant ouvert directement sur les côtes européennes à partir duquel seront menées des attaques d’une ampleur inédite relevant plus de la guérilla que du terrorisme.