Mai 68 : gauchisme et néolibéralisme
8 mai 2018 17:51, par DuwezPARTIE II
. Le Love&Peace ou Jesus Superstar attaqueront le fondement de la patrie par son antimilitarisme niais (Léonard Cohen, Bob Dylan, Joan Baez), puis apparaîtra le Do It (apologie de la crapule Che Guevara) du frère séparé Allen Ginsberg, le cocktail (Molotov) était préparé pour faire éclore mai 68 par des agitateurs professionnels comme Daniel Cohn-Bendit et Alain Krivine, entraînant les gogos à beugler : Nous sommes tous des juifs allemands, la Synagogue de Satan accouchait du néo-gauchisme sur les pavés, avatar du Spartakisme mais celui-ci, n’est pas comme le disait Lénine : la maladie infantile du communisme.
Le Diable est un bosseur, et le néo-gauchiste est sa créature ; le néo-gauchiste attaque l’homme dans son essence lui délivrant un blanc-seing pour vivre une existence sans entrave, il se fait passer pour un penseur qu’il n’est pas, c’est un commissaire politique de la bien-pensance, un geôlier du goulag intellectuel, dont le règlement intérieur est la soumission au politiquement correct : la novlangue. Le néo-gauchiste ne sait pas débattre, mais il sait abattre, son credo est le tabula rasa , c’est un esclave qui n’a que le mot liberté à la bouche, alors que celle-ci est synonyme de licence la plus débridée et la plus éhontée, c’est un schizophrène qui veut détruire sa race, son patrimoine culturel, son pays.