L’humoriste et animateur Tex piégé par sa "chiennasse aux grosses loches"
17 mai 2018 17:00, par listenerLes femmes en matière de droit ne comprennent qu’une chose : interdire. Les hommes c’est le contraire. Ils conçoivent la liberté. Les femmes aiment donc le décalogue des prêtres juifs qui interdit tout et qui ridiculise dieu puisque ces interdits ne sont pas respectés y compris par eux et qu’ainsi on nargue Dieu tous les jours. Les hommes n’aiment pas trop. Il a fallu plusieurs millénaires pour que les hommes imposent une conception claire du droit contre le jus de navet juridique féminin.
Le droit moderne répond génialement et abat cet édifice pourri des interdits : on ne peut rien interdire tant qu’on aura pas éclairci qui est et qui se cache derrière ce "on" qui s’arroge le droit d’interdire et donc de dominer ? "On", c’est qui ? "On" c’est quoi ? C’est le "peuple" ? Peut-être. Mais en attendant, le code pénal français ne contient aucun "interdit" au sens hébraïque du terme Ils formule et définit les crimes et délits qu’on est parfaitement libre de commettre puisqu’on est libre et précise les peines encourues. C’est tout . Rien n’est interdit, pas même d’assassiner si cela vous chante. (le mot "interdit" n’intervient en droit que très rarement dans des texte très bas et curieusement dans le texte de la loi de séparation des Eglises et de l’Etat).
On n’est donc pas sous la juridiction du temple de Jérusalem, de ses cohen et de ses lévy. Alors ? "Il est interdit d’interdire" est la formule la plus claire et définitive du droit moderne. Il faut que les hommes la revendiquent,
Les femmes n’ont pas les moyens de comprendre ces subtilités, les pauvres. Le fait d’interdire ne leur pose aucun problème. Elles ne voient pas le problème puisqu’elles veulent dominer. Mais au nom de qui et de quoi ? A leur niveau intellectuel (art de la table, conversation courante, chiffons, leur petite personne, le fameux "moi-je") d’accord. Mais pour les choses sérieuses (la politique le sport, la guerre, l’art, la pensée) ? On ne va pas leur demander leur avis, évidemment.