Italie : l’européiste Mattarella impose un ancien du FMI à la tête du gouvernement
30 mai 2018 18:14, par nicolasjaissonLes Italiens sont visiblement incapables de s’en sortir par eux-mêmes. Ces gens ont toujours besoin d’un grand frère, que ce soit l’empire romain germanique, l’Autriche, l’Allemagne, ou la mafia sicilienne opérant pour le compte de la CIA. Une solution serait donc de redécouper l’Italie pour la partager entre les Etats-membres européens. Comme les banques italiennes adorent transférer leur cash en Allemagne en période d’incertitude sur la dette italienne, il serait de bon ton de restituer la Lombardie à la Bavière. La Vénétie pourrait retourner dans le giron de l’Autriche qui échangerait l’accès à l’Adriatique contre une annulation totale ou partielle des mauvaises dettes accumulées par les antiques banques lombardes tenues à bout de bras par la BCE. L’Italie du Sud pourrait constituer un début d’union euro maghrébine en s’unissant à la Libye et à la Tunisie. Après tout cette région constituait la base de l’empire vandale de chaque côté de la Méditerranée. En plus les migrants pourraient du même coup devenir européens tout en restant africains. A eux de choisir ensuite quelle sera la meilleure option pour eux, avec quand même un encouragement pour se décaler vers le Sud là où se trouve le pétrole lybien qui serait facturé en dinars or. Quant à la partie centrale, elle irait dans l’escarcelle des états pontificaux qui semblent vouloir renoncer à l’euro pour émettre une monnaie en or qui servirait de base monétaire à une économie de type monastique autarcique rurale:traditionnelle, donc sans grand besoin de moyens monétaires pour financer des échanges extérieurs. Gageons que ce sera la ruée pour venir habiter dans des villages déshéritées, dont les maisons seront mises en vente pour une somme dérisoire, à condition de respecter les bonnes pratiques de l’économie monastique, notamment la vie de prière et le commerce basé sur le troc ainsi que des règles d’hygiène élémentaire comme l’alimentation bio de rigueur, l’usage des huiles essentielles et les vêtements faits main grâce à des métiers à tisser siciliens.