Et il paraît maintenant que les corses ramènent leurs fraises et s’en mêlent comme s’ils étaient indépendants, et veulent les "accueillir" (l’accueil des corses ! ) "dans un port corse" (ils pourraient dire "port français en corse") !
Très bien. Une fois en Corse, les migrants voudront repartir (par exemple chez eux) en quatrième vitesse à pied à cheval ou à la nage. La solution semble trouvée !
Je propose d’affréter un navire de parisiens pratiquant le nudisme intégral et voulant échapper aux persécutons en région parisienne et ne pouvant pas pratiquer leur mode de vie artistique de la quéquette au soleil. Ils rembarqueront également en quatrième vitesse les fesses peintes en vert.
Et les adeptes de la gauchiasse universelle devront aller faire des stages dans des villages corses. Pas mal de problèmes peuvent être corsisés et réglés selon la mode locale.
Tout cela c’est peut être des "clichés" contre lesquels il y a lieu de "lutter", mais les corses répondent très gentiment, avec l’affabilité qu’on leur reconnaît bien volontiers, aux pires clichés qu’on porte sur eux.
Alors profitons-en.
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