Trump remet en question la fonction anti-russe de l’OTAN
29 juin 2018 01:52, par JP
Il n’y aura pas de "dislocation" de l’OTAN.
Simplement, c’est Bolton qui négocie, c’est pas les américano-non-sionistes, Mattis ou Kelly, qui sont sur le départ.
Poutine a donc obtenu le retrait US de la Baltique. Il a aussi obtenu carte blanche des US pour liquider les takfiristes dans le Sud-Ouest de la Syrie.
En échange, Bolton a obtenu de Poutine pour les États-Unis d’Amérique une concession vitale pour leur sécurité : leur zone frontalière du Golan ne sera plus menacée par le Hezbollah ou autre force chiite, qui devront s’en éloigner beaucoup. Cela est devenu évident, d’une part vu la pénétration du dernier raid aérien Israélien, et d’autre part vu que Poutine est revenu (ainsi que je l’avais pressenti) sur son projet de fourniture de S-300 à la Syrie,.