Nouveauté Kontre Kulture : Sociologie du hardeur de Lounès Darbois
30 août 2018 15:24, par AthenaJe ne peux qu’approuver et me sentir en phase avec cet auteur, dans les années 80, j’avais 18 ans, et la pornographie me révoltait, à l’époque, on se moquait de moi,on me disait passéiste, puritaine, pudique, mal dans ma peau et frustrée, ce qui n’était évidemment pas le cas, mais c’était bien vu le porno, ça l’est toujours, même Coluche disait que le porno avait fait progresser l’éducation sexuelle, je ne l’ai jamais cru, bien au contraire,( quand J-M Le Pen s’en était indigné, évidemment tout le monde lui était tombé dessus), outre que la pornographie , production très lucrative, était pour moi quelque chose de très malsain et dévastateur, dans la mesure où généralisée et introduite dans les foyers, je me souviens avoir apercu tout un rayon de films X qui appartenait au père
d’un copain chez lui, je sentais le danger, la banalisation d’une certaine barbarie et surtout de la pédophilie qui ne manquerait pas de suivre, l’augmentation des viols, le mépris des femmes, et des hommes d’ailleurs, l’hypersexualisation de tous dès le plus jeune âge, le piétinement des sentiments nobles tels que l’amour, le respect, la sensibilité et la tendresse, et la manipulation des gens pour les inciter à toujours plus d’individualisme, d’ égoïsme, pour les faire consentir à une société ultra libérale, de marchandisation, où tout se vaudrait, où l’homme les femmes les enfants les anciens, bref l’humain seraient tous rabaissés dans un monde si laid et si déprimant, alors c’est vrai qu’à l’heure d’Internet aujourd’hui beaucoup, et des jeunes, trouvent que ça va trop loin, des gens compétents des pédopsychiatres parlent , des philosophes, des intellectuels, trop peu, encore imprégnés des théories toxiques de 68, de gauche, mais merci à E&R, Marion Sigaut et d’autres pour leur travail remarquable ou leur prise de conscience , la pornographie, les images, n’est pas quelque chose d’anodin ni sans consequences, elle fait partie d’un plan de déstructuration des individus, et de la famille, ce qui est bien visible aujourd’hui.