La nécessité du capital c’est la "transition écologique" doublée de la transition numérique dont l’incarnation reste les cités du turtur" ou "smart cities" dont la Chine est la figure de proue. A ce sujet l’ambassadrice de Chine à Tel Aviv a rappelé les liens étroits qui lient la Chine à Israël en matière de nouvelles technologies issues de la Silicon Valley lors d’une rencontre médiatique avec Netanyahu. Vladiimir Poutine a rappelé aussi, lors du congrès des investisseurs à St Petersbourg, l’importance des technologies israélienne dans la création du nouvel ordre écologique présidant au réseau qui reliera les mégapoles du futur à travers le monde, dont une nouvelle réalisation sera le pont entre Sakhaline, le Nord du Japon et l’extrême-orient russe. Donc en fait de capital , il s’agit de capital public en majeure partie financé par la dette et certainement pas du capital privé en recherche d’investissements rentables. Car en fait de profitabilité le nouvel ordre écologique s’annonce comme une catastrophe, comme le montre déjà quantité de réalisations ubuesques comme les cités fantômes chinoises ou encore des réalisations de prestige comme le pont magistral reliant la presqu’île de Kerch à la Crimée. Un catalogue exhaustif des futurs réalisations du "capital" figure dans le programme visionnaire publié récemment par le gouvernement chinois qui fixe les objectifs de de développements à l’horizon 2025. Et là, en matière d’écologie et de santé publique, les plus plus grandes craintes sont justifiées, à la vue des futurs autoroutes intelligentes pour véhicules électriques autonomes reliées à des batteries de stations 5G et autres stations de rechargement à distance qui bombarderont les occupants de rayonnements à très haute fréquence. De quoi vous grillez complètement le cerveau, pour ceux qui ne pourront pas s’offrir des réseaux neuronaux synthétiques blindés contre les rayonnements électromagnétiques. La vision eurasiatique mondialiste du capital c’est le monde de Frankenstein inventé dans les labos de la Silicon Valley, de Shanghaï et autres villages des "jeunes pousses" nano tech à Moscou.