Peut-on dire que "l’homme est un singe" ?
25 août 2018 11:14, par DudulSi l’évolutionnisme est une idéologie pour autant l’évolution est bien une réalité sinon la réalité.
Minéral, végétal, animal + Homme, puis l’évolution de celui-ci au moyen de ce que nous nommons l’histoire où la maîtrise de la pierre (outils, feu premier, armes) l’eau (bateau), air (avion), feu (atome).
Ce qui retient notre attention ici est le passage de l’animal à l’Homme. Il convient de voir le singe comme le maillon le plus élevé du règne animal puisque pourvu de doigts articulés permettant l’usage d’une main primitive mais néanmoins capable de cueillir et même concevoir l’aube des outils
sans pour autant être capable de concevoir et maîtriser le feu premier (chaleur, cuisson, défense).
Mais s’il faut parler du singe il faut bien distinguer les primates des hominidés. Nous n’avons plus trace des hominidés de l’époque de cette distinction, les grands singes que nous connaissons nous en rappelant qu’un bref et bien incomplé souvenir puisque c’est notre branche qui s’est distinguée par élimination de nos concurrents qui, je me répète, n’étaient pas plus que nous des singes tel que nous le concevons aujourd’hui mes des hominidés soit une branche déviante positivement, une évolution des primates qui n’en sont aujourd’hui que le caput-mortuum. Alors comment s’est opérée cette mutation ? c’est bien évidemment une histoire d’évolution interne, mais nous n’allons pas ici rentrer dans des explications de l’alchimie planétaire cependant que l’Agent rédempteur, inconcevable au plan de l’évolutionnisme exclusivement horizontal, est bien le maître du Jeu, l’heure qu’il est dans les Architectures terrestres. Si l’Homme est un animal par son corps, par son horizontal, il est avant tout et après tout une créature métaphysique par sa vertical ; Ici tout le symbole de la croix prend sa valeur situant l’Homme au carrefour des deux, au cœur d’un combat que seul il connaît et devant le mener à la surhumanité (qui n’est pas transhumanisme loin s’en faut, pâle reflet), dernier étage de la fusée spirituelle ascensionnelle du corps et assomptionnelle de l’esprit.