APPEL POUR EXCLURE PASCAL LAMY ET DOMINIQUE STRAUSS-KAHN DU PARTI SOCIALISTE (APPEL du M’PEP)
26 janvier 2011 20:40, par SébastienLe M’PEP s’appelait au départ "Le Futur d’Attac". Il regroupe des anciens d’Attac autour de l’ex-président d’Attac Jacques Nikonoff, issu du PCF. Il avait été placé là par Bernard Cassen, l’ancien président-fondateur. Les adhérents avaient été mis face au fait accompli. Les méthodes de Nikonoff sont de signer des papiers et des conférence de qualité, et des conclusions décalées. Il avait ainsi organisé une conférence-débat sur le revenu d’existence au siège du PCF, sur toute une journée, avec des intervenants prestigieux, où chacun pouvait exposer ses arguments, pour conclure à la fin de la journée "bon mais de toutes manières sans travail il n’y a pas de production donc le PCF ne le soutiendra pas". Comme s’il n’avait écouté aucun des arguments avancés. Quand il était président d’Attac il envoyait des emails aux adhérents en mettant en sujet "Message de Jacques Nikonoff, président d’Attac" pour se donner de l’importance. Ses premiers communiqués étaient contre les membres des Verts membres d’ATTAC. Petit à petit il s’est mis tout le monde à dos. Pour rester président il n’a pas hésité à écrire beaucoup de mal des autres candidats. Il est de ceux pour qui la fin justifie les moyens, comme bourrer les urnes, ce qui fait qu’il a été soupçonné de l’avoir fait (mais je crois que ça n’a pas été prouvé). Or les moyens sont dans la fin comme la graine est dans l’arbre, comme disait Gandhi, et le savaient les adhérents d’Attac, qui ont voté majoritairement contre lui. Il est sorti d’Attac avec le fichier des Adhérents et il a continué de spammer tout le monde avec des critiques violentes et puériles de la nouvelle équipe élue au CA. Attac a menacé de porter plainte pour vol de fichier et SPAM abusif des adhérents + usurpation du nom d’Attac ("Avenir d’ATTAC"). Et le M’PEP est né.
Au sujet de ce texte, il faut savoir que du temps d’ATTAC Nikonoff avait voulu que ATTAC soutienne le candidat du PS (ce en quoi il était ultra minoritaire). Il avait voulu passer en force là aussi, mais en vain. Toujours est-il que pour moi il faut lire entre les lignes. Il essaie de nous persuader que le PS n’est pas néo-libéral. Or DSK et Lamy sont loin de représenter une tendance minoritaire au PS. Le PS est bien un parti libéral, pas moins que l’UMP.