Eugénie Bastié à Léa Salamé, révoltée : "Une main aux fesses n’a jamais tué personne"
26 septembre 2018 07:28, par Eugénie a bien du charmeEugénie a raison : on doit hiérarchiser les offenses.
Le vol à l’étalage n’est pas puni comme l’est le cambriolage. Toutefois, dans certains pays, on peut y laisser sa peau : essayez de voler une orange dans un marché d’Arabie, pour voir. Ou de tâter une inconnue dans la rue.
Le problème en France, ce sont les hommes débarqués de pays où le petit vol est grave. Ici, ils ne se gênent plus du tout, d’autant plus que la riposte est affaiblie par les institutions, sous prétexte de "racisme" ou de "disproportion dans l’auto-défense" et par la pénalisation de la réaction virile. Et qu’ils (les débarqués) savent avoir très peu de chances d’obtenir ce qu’ils veulent dans les règles, qu’ils ne maîtrisent aucunement, du pays qu’ils prétendent occuper ou occupent déjà, et depuis longtemps.
Voir Eugénie et Salamé côte à côte, les entendre s’exprimer... n’est pas à l’avantage de Salamé. Vive nos petites Françaises, trop souvent évincées ou abêties ou avilies. Les filles, dans de bonnes conditions, vous redeviendrez les petites Eugénie que vous êtes. Un peu de courage !
Non, Salamé n’a pas de problème de "main aux fesses" ni de caisse enregistreuse. Papa et son cercle l’ont sauvée de justesse d’un métier parfaitement envisageable pour son grand talent, qui exige de l’organisation, du pragmatisme, de la rapidité de calcul, de la docilité, et un siège confortable. Il faut quand même, à la caisse, être aimable avec le client. Sinon, dehors !