Quand le général d’armée Benoît Puga enfumait les étudiants de l’ESSEC sur la Libye
14 octobre 2018 12:10, par Phiddipidès
Puga n’est qu’un mythomane qui n’a jamais eu d’autre projet que lui-même. Remarquablement doué pour mettre en valeur les anecdotes somme toute très quelconques de son parcours, il ne doit son parcours et sa carrière, comme nombre de ses pairs, qu’à une souplesse d’échine exceptionnelle et une propension à ramper servilement sous couvert de "service de l’état et de devoir de réserve".
C’est d’ailleurs la raison principale pour laquelle il fut choisi pour tenir les fonctions qui furent les siennes.
En cela, il est le digne précurseur de l’actuel CEMA, dont la "légende" s’appuie sur la fameuse "reprise" du pont de Verbanja. Action dont la réussite tactique et la conduite mériterait, un jour, d’être plus objectivement analysée quitte à ternir un peu l’image du faux héros !