Viande en crise : la filière défend son bifteck
22 octobre 2018 23:47, par pleinouest35Végétarisme/véganisme, une mode de bobo-écolos ? Vraiment ?
Romain Rolland : « La cruauté envers les animaux et même déjà l’indifférence envers leur souffrance est à mon avis l’un des péchés les plus lourds de l’humanité. Il est la base de la perversité humaine. Si l’homme crée tant de souffrance, quel droit a-t-il de se plaindre de ses propres souffrances ? ». Confucius : « Tant que les hommes massacreront les animaux, ils s’entre-tueront. Celui qui sème le meurtre et la douleur ne peut récolter la joie et l’amour ». Harvey Diamond : « Mettez un enfant dans un berceau avec une pomme et un lapin. S’il mange le lapin et joue avec la pomme, je vous achète une voiture neuve ! ». Theodore Monod : « Ce qu’on peut critiquer, c’est cette prééminence exclusive donnée à l’homme, car cela implique tout le reste. Si l’homme se montrait plus modeste et davantage convaincu de l’unité des choses et des êtres, de sa responsabilité et de sa solidarité avec les autres êtres vivants, les choses seraient bien différentes. Ce n’est peut-être qu’un espoir ». Thomas Edison : « Je suis végétarien et antialcoolique : ainsi je peux faire un meilleur usage de mon cerveau ». Thomas Henry Huxley : « L’homme vint avant la hache et le feu, il ne pouvait donc pas être omnivore ». Léonard de Vinci : « J’ai très tôt renoncé à la viande et un jour viendra où les hommes tels que moi proscriront le meurtre des animaux comme ils proscrivent aujourd’hui le meurtre de leurs semblables ». Albert Einstein : « Rien ne peut être aussi bénéfique à la santé humaine et augmenter les chances de survie de la vie sur terre que d’opter pour une diète végétarienne ». Emile Zola : « La cause des animaux passe avant le souci de me ridiculiser ». Claude Lévi-Strauss : « Depuis une quinzaine d’années, l’ethnologue prend davantage conscience que les problèmes posés par les préjugés raciaux reflètent à l’échelle humaine un problème beaucoup plus vaste et dont la solution est encore plus urgente : celui des rapports entre l’homme et les autres espèces vivantes ; et il ne servirait à rien de prétendre le résoudre sur le premier plan si on ne s’attaquait pas aussi à lui sur l’autre, tant il est vrai que le respect que nous souhaitons obtenir de l’homme envers ses pareils n’est qu’un cas particulier du respect qu’il devrait ressentir pour toutes les formes de la vie ».