Sous le maquillage, sous l’apparence proprette de la jeune fille occidentale ayant accès à tous les artifices hygienico-cosmetiyes, il n y a que la pourriture.
Cette pourriture se révèle de plus en plus à mesure que les années font leur œuvre de sorte que cette jeune femme finira par ressembler à sa mère, figure cadaverique, morte vivante zombifiée par la propagande gauchiste.
Ces gens sont facile à reconnaître : Leur apparence physique, leur physionomie est "dégradée", "délavée" par rapport aux vivants.