Sergueï Lavrov : "Pour établir la paix en Méditerranée, il faut résoudre la question palestinienne"
26 novembre 2018 03:01, par SedetiamLes gens peuvent bien pondre ce qu’il veulent au profit inéluctable du colon, un temps plus fort. Par ici cela fait 250 piges que la terre est colonisée, soit que l’on considère qu’elle fut payée par Louis XV aux Génois, 200 000 livres de l’époque, soit que l’on considère la défaite de Ponte-Novo.
Cependant, et le point d’orgue des années 80 du siècle passé en est témoin, tout patriote reste irréductible : qu’il perde sur le terrain, il s’inscrit dans les mémoires et renaît un jour sans que nul n’ait pu prédire le soudain sursaut.
Il n’est pas un jeune ici qui oublie les pendus du Niolu...
Voilà un chant dont les voix s’élèvent de la vallée d’une rivière, A Gravona et qui se prête bien volontiers à tous ceux qui subissent : « Quand’eddi m’accurdarani chi sta tarra hè la mea... » (Quand m’accorderez-vous que cette terre est la mienne ?)
Cela vaut tant pour le Palestinien que pour le Français qui se trouve être l’un et l’autre à la fois : colonisateur et désormais « colonisé » par la Commission Européenne, certains lobbies et les migrants que le ces mêmes lobbies lui envoient. Bienvenu au club : de quoi entamer de belles réconciliations...