Moi, ce que j’aimais pas chez Daniéla (désolé, mais vous l’avez citée), c’était qu’elle n’était tout simplement pas au niveau du mag’ culturel qu’elle était censée animer, mais qu’elle dévitalisait par sa simple prestation professionnelle de service public.
Une des rares fois où j’ai eu, répétitivement, un sentiment d’arnaque manifeste, sans être alors particulièrement attentif aux questions politiques.
Ensuite, je n’ai rien contre les dynasties, dans lesquelles se transmettent l’excellence ou le simple savoir-faire : artisanat, notariat, vedettariat ; mais le dynastisme en journalisme comme en politisme, ça m’enrhume, comme disait Maurice Lovisolo.