Le Pacte de Marakkech : une folie.
A SAVOIR :
Les textes sont réputés non contraignants, mais indirectement, ils deviennent contraignants, si le Conseil d’Etat est saisi. Car le Conseil d’Etat prend en compte l’orientation donnée par ces textes pour rendre ses décisions.
Le pays est a bout de souffle, il n’y a plus un kopek pour la France gilet jaune, et ils veulent inviter le monde entier à s’installer.
Vous pouvez bien "penser printemps", cette situation n’est pas tenable.
Après la signature, nous sommes cuits.
Il s’agit de :
financer les diasporas (!) pour qu’on envoie l’argent au pays d’origine (+ des recommandations sur comment s’y prendre avec le pays d’accueil)
faciliter les transferts de fonds vers l’étranger
faciliter les transferts de technologie entre les pays d’accueils et le pays d’origine
enregistrer les personnes résidants dans les pays étrangers, à la Securité Sociale, pour qu’elles puissent se faire soigner dans les hopitaux français (les Algériens : déjà fait, accord signé).
Mais avec quel argent gratuit ? Avec quels fonds ?
Les caisses sont déjà vides.
Ils veulent crever le pays.
Quand j’étais en Grèce, je me promenais dans le jardin sous l’Acropole, et il y avait une dame agée très chic, avec son mari, qui criait à la cantonnade en montrant les fouilles archéologique au pied de l’Acropole, on était en pleine crise financière.
Elle faisait un geste circulaire en montrant le site archéologique, et elle disait "C’est superbe, hein ? C’est BEAU. C’est ça qu’ils veulent. AhhhAhhh... C’est ça qu’ils veulent. Ils le veulent ! Ils veulent nous le prendre)".
ça m’avait fait un peu rire, car je me disais "quels fanfarons, ces Grecs. Quelle comédie".
Aujourd’hui la Grèce est en train de vendre ses sites archéologiques à des sociétés privées.
C’était impensable à l’époque. Mais les Grecs, qui sont intelligents et bien informés, savaient.
"On" veut ruiner la France pour pouvoir racheter a bas prix tous les fleurons de l’industrie française.
Le peuple français doit disparaître.
Ce pacte de Marrakech de l’ONU est censé être non contraignant, mais dans les faits, le Conseil d’Etat a déjà appuyé ses décisions sur des textes réputés non contraignants, car ils indiquent malgré tout les grandes orientations.