Après nous le déluge ? Nous y sommes.
8 décembre 2018 11:41, par anonyme
Un balancier ne s’arrête jamais au point d’équilbre et ne change de sens qu’aux extrémités de sa course. La métaphore vaut pour les organisations sociales, qui ne savent pas changer d’orientation autrement non plus. C’est encore plus vrai quand ce qu’elles instaurent comme organes représentatifs au nom de la ’’démocratie’’ évince la majorité de leurs populations les plus légitimes. Il ne se passe rien d’autre que ce qui se passe en ce moment parce qu’il n’y a pas place pour autre chose. Une pseudodémocratie est, de fait, une tyrannie. Comme telle elle met en place, d’abord, un éventail de modes de coercition lui permettant de servir les intérêts qui l’agissent. Il suffit, factuellement, d’identifier ses victimes pour identifier les prédateurs qui la dominent. Il suffit, factuellement, de voir ce à quoi elle se refuse pour savoir ce qu’elle exige. Il suffit, factuellement, de constater ses résultats pour conclure sur ses objectifs. Il suffit,, factuellement, de voir qui elle révolte le plus violemment, pour savoir qui elle agresse le plus...Quand c’est sa population autochtone, on sait que cette tyrannie est aux mains de l’étranger et que ce qu’elle trouve de concours est celui, multiforme, de la Trahison. CQFD