Dépréciations et goodwill : les combines antisociales du groupe Carrefour
17 décembre 2018 16:51, par Socrade
C’est pathétique ces discours "de vérité" auto-satisfaits qui dévoilent les ignobles pratiques des méchants patrons. La réalité c’est que le client est LIBRE d’aller à Lidl, Auchan ou Carrefour : ces professionnels doivent faire des efforts surhumains de restructuration pour offrir un service attractif qui fasse venir les clients. Dans le contexte de la mentalité française abjecte de prédation par "droits acquis" au salaire à vie, les patrons sont effectivement obligés de fabriquer des excuses pour faire passer ces restructurations. Si la dépense publique était ouverte à la liberté du travail et que ces grands professionnels pouvaient offrir leurs prestation, elle ne serait pas de 1300 milliard d’euros mais de 300, on vivraient 10x mieux et il n’y aurait pas de gilets jaunes dans la rue. La prédation de la dépense publique et des prélèvements obligatoires par droits et statuts arbitraires, c’est ça la dégueulasserie sociale à dénoncer.