Je ne peux pas acheter de cadeaux à mes gosses
23 décembre 2018 07:10, par MivilleDe la minute que vous fêtez Noël avec un arbre coupé et des cadeaux ou des friandises disposés tout autour, ce n’est pas la naissance de Jésus que vous fêtez, mais là pas du tout. Vous ne fêtez pas Noël, vous fêtez la Wednesnight, la fête du couronnement du dieu germanique Wotan, qui se fêtait traditionnellement par le symbole du sapin dans toute l’aire celto-germanique. Ce n’est pas une fête simplement païenne, c’est une fête satanique, fondé sur un acte de magie pratiqué pour le gain par télé-pillage par émission d’énergie de terreur : Wotan, personification du principe de ruse pure associé à Mercure dans le panthéon indo-européen ancien, est invoqué pour menacer le monde de mettre en branle le Götterdämmerung (apocalypse) comme lui seul en a le pouvoir par son suicide rituel si les peuples sujets ne paient pas leur lour tribut aux tribus germaniques adoratrices de cette entité, et c’est ainsi qu’en temps normal ce monde germanique s’enrichit et fait la morale aux autres, faute de quoi il se transforme en essaim ravageur capable de détruire le cosmos entier s’il le faut.
Les cadeaux sous le sapin sont le tribut des nations terrorisées. Il est à noter que Wednesnight n’est pas compatible avec le Noël chrétien (il semblerait même que le Noël chrétien fêté à grand bruit en pays germanique ait été une tentative d’éclipser cette fête comme la Toussaint l’Halloween : mais pour bien se démarquer du culte païen il ne fallait surtout pas décorer d’arbre mais faire une crèche, et il fallait jeûner et rompre le jeûne par un simple bouillon, non pas un réveillon), mais l’est parfaitement avec la Hanukkah juive pour une étrange raison (outre le fait que de manière générale les derniers druides celtiques et wizards germaniques se sont mis à l’ombre de la synagogue quand il leur a fallu disposer d’une cachette contre le pouvoir chrétien montant, ainsi que d’une structure d’enseignement écrit de leurs pouvoirs) : la Wednesnight dure neuf nuits lors de chacune desquelles une bougie de plus est allumée sur l’arbre et une offrande votive à donner à la belle dont on est le prétendant opérée en vue de la réussite économique à venir dans l’année courante.
C’est une fête aussi maléfique de signification à l’origine que l’Halloween, et il n’est nullement étonnant que partout là où la signification chrétienne de la fête est passée au second plan, l’approche de cette fête engendre de si épais brouillards de mélancolie dans l’air des villes.