Victimisation féministe : la mise en valeur du "matrimoine" parisien
21 janvier 2019 13:29, par N.Je ne suis point adepte du féminisme. Par contre je ne peux pas permettre à ce que l’intelligence, voir le génie de certaines femmes soient niés et méprisés souvent par des hommes auteurs de commentaires qui se passent de commentaire - (je suis tentée de mentionner un en particulier, dont l’auteur pour imposer son opinion aux femmes, cite deux de ses armes redoutables - les baffes et le sexe (prendre la malheureuse qui ne partage pas ses idées en levrette). Mais soyons sérieux, comme dirait un autre grand critique de l’art féminin. Hier j’ai mentionné le nom de Leni Riefenstahl, la femme qui a inventé la plus parts des techniques utilisées désormais dans le cinéma et l’audiovisuel moderne - un des Arts majeurs de notre temps, je tiens à noter ici (attention - LR a mis en place UNE TECHNIQUE révolutionnaire, utilisée désormais dans la TV et le cinéma, ce qui est bien plus précieux que le classement fait par les critiques de ses films). Donc, on peut convenir qu’une femme a déjà apporté sa contribution non négligeable dans l’ART DU CINEMA et de L’AUDIOVISUEL. Maintenant nous allons passer dans LE DOMAINE DE LA PEINTURE. Une des grandes artistes peintres pour moi, c’est Käthe Kollwitz (1867-1945). Cette artiste allemande, injustement méconnue en France, a laissé une œuvre d’une puissance bouleversante qui n’a rien à voir avec la "mièvrerie" qu’on rapproche souvent aux artistes femmes. Käthe Kollwitz fait de la peinture, du graphisme (en utilisant plusieures techniques), mais elle est aussi un grand sculpteur. Son travail artistique a été consacré à la vie dure des ouvriers allemands, à la famine, à l’horreur de la guerre, il est un témoignage tragique du prolétariat allemand de la fin du XIXème et du début du XXème siècle. Par ailleurs Käthe Kollwitz est la première femme qui a été admise en tant que membre dans l’Académie des Beaux Arts prussienne. Ses œuvres sont exposées dans des musées et galléries du monde entier (il y en a aussi dans le musée de l’Art Moderne à Strasbourg).
Maintenant côté LITTERATURE - je termine avec l’écrivaine américaine Margaret Mitchell - prix Pulizer en 1937 pour son roman "Autant en emporte le vent". Je serais brève : le roman de MM est LE ROMAN LE PLUS VENDU DE TOUS LES TEMPS - 28 000 000 d’exemplaires ! Destin exceptionnel aussi pour l’adaptation cinématographique de l’œuvre de cette grande dame de la littérature mondiale - le film du même nom a reçu un nombre record de nominations de l’Académy of Awards.