Les Femmes, l’Homme et le Clitoris
9 mars 2019 23:48, par SedetiamQue l’on se rassure : tout ceci est de la daube nécessaire à quelques-unes pour manifester et à la Bête pour tenter d’isoler plus encore les femmes et en faire des consommatrices compulsionnelles lorsqu’elle (se doivent) se devront, de combler un vide existentialiste.
Cependant, celles qui ne sont pas dans le giron « parisien » n’ont franchement rien à foutre de toutes ces conneries. Je ne sais si je vis dans un Magic Kingdom ou non, mais dans le panel de filles et de femmes de 15 à 65 ans qui gravitent dans mon proche entourage et que l’on peut quantifier à 30, rien ne semble avoir changé : elles font ce qu’elles veulent de leur corps sans jamais vouloir passer pour des putes, elles tiennent le discours environnant sur deux ou trois bricoles qui s’estompent vite, mais, sans qu’il soit besoin de ne rien dire, lors des rassemblements et quelles qu’en soient les raisons, elles s’associent toutes entre elles pour débarrasser, faire la vaisselle, plier le linge, cependant que les gus font toujours les mêmes activités et jacassent autour de la mise en oeuvre de la bouffe et autres bricolages. Ainsi les plus jeunes d’entre elles me font plus penser à ma grand-mère qu’à ces connasses qui se déshabillent dans la rue pour faire valoir, croient-elles, leurs droits. (L’égalité - avec elles - des nénettes vivant sous l’Équateur étant, dans l’esprit de ces rebelles, pour demain)
La vraie seule chose qui soit venue parasiter le relationnel au sein de regroupements festifs est l’intrusion du téléphone portable et des réseaux qui l’accompagnent. L’on ne sait dire, tant il faudrait faire une analyse comparée, au regard de ce qu’il amène de facilités à s’organiser, se déplacer, photographier, partager différemment et/ou archiver, si cet appareil apporte plus de détérioration que d’améliorations.
Pour le reste, l’instinct grégaire qui sied à l’être humain, lequel se « divise » inéluctablement en deux genres lors d’activités présumées communes, rien ne semble avoir RADICALEMENT changé. Seuls les amoureux des premiers jours restent collés-serrés, inséparables. Les autres rejoignent instinctivement leur groupe d’appartenance...
Pour le cercle plus large encore où se trouvent à graviter des homosexuels, lorsqu’ils ou elles arrivent à se séparer l’espace d’un instant, là aussi elles ou ils rejoignent leur groupe d’appartenance, hormonal dirons-nous...
Soros, c’est 89 piges de manigances, l’existence de l’homme et sa nature profonde c’est 2,8 millions d’années. DTC