Auto-humiliation : une chasse aux sex-toys réunit 4800 femmes en Belgique
16 avril 2019 04:24, par SedetiamIl est sûr que c’est loin de l’époque où l’on glanait les patates. (Encore que... il y avait certaines issues))
Cependant, ils serait intéressant (ches les bonshommes entre autres) d’être un peu moins faux-cul :
- primo, l’on kiffe tous (ici) de trouver quelque champ que ce soit pour notre ami controversé : nous devrions donc le tolérer aux autres.
- secundo et sans rentrer dans les détails de pratiques particulières nawashi, je dispose d’une malette aux objets ithyphallique que ne renierait pas un Kanamara Matsuri et je ne trouve pas un seul type - profane - qui ne soit pas intéressé : pas tant par la pratique (qui lui offre appréhension si elle lui est inconnue - au sens de la connaissance vécue) mais par ce qu’il en résulte (narration ou photos) : bref, après le doigt, le voilà qui s’amuserait tout autant « d’objets ». Il en va de même et de plus en plus, des filles - occidentales - dites modernes.
Quel n’est pas celui qui s’est un jour penché sur les aphorismes de Vātsyāyana en ne considérant que la partie sexuelle du sujet, lequel est pourtant autrement plus vaste ? (La partie mentionnée ayant d’ailleurs été censurée en milieu de siècle précédant) « The times they are a’ changin’ » chantait l’homme au chapeau.
- tertio, et comme nous sommes après 68, A.S. a porté la « Sociologie du dragueur » à votre connaissance et j’ai cru lire une fois, sauf erreur, qu’il nous annonce 700 donzelles dûment pénêtrées et il ne se trouve aucun du bal des faux-culs pour s’offusquer, presque au contraire, l’on considèrerait cela comme chevaleresque.
Nous sommes pourtant loin de la relation « normale » (au sens de la norme), que vous voulez nous faire accroire par vos cris d’orfraie.
Alors peut-être va-t-il falloir qu’il édite un nouvel opus pour vous expliquer le fonctionnement des donzelles parce que vous semblez les porter (et la relation qui vous associez) sur un piedestal auquel elles ne se prêtent pas et c’est à mon sens, ainsi, que vous vous faites bananer votre « masculinité ». Les filles, lorsqu’elles ont l’âme à « pêcho » comme l’on dit, sont pires que vous, les gars : ne vous y trompez jamais ! De même que leur(s) désir(s) est insatiable : vous partez en vrille ou quoi ?
Bordel, sauf les pratiquants des trois dogmes (lois) monothéistes (quatre si l’on considère les sikhs) qui ont toutes les raisons de gueuler, sauf les pudiques des deux sexes, les autres, soyez un peu plus circonspects, que, pour l’essentiel, tout ceci fait partie de vos paraphilies (cachées ou révélées).