Pierre Lamalattie prône la reconstruction à l’identique de Notre-Dame de Paris
7 mai 2019 20:05, par dilfANALYSE TECHNIQUE DE L’INCENDIE ET CONCLUSIONS. En Février dernier la charpente a été traitée, (voir le reportage sur A2) contre les insectes avec un gel. Elle ne l’avait jamais été depuis plus de 800 ans. L’entreprise qui a « désinsectisé » à du faire preuve de talent car il a fallu pulvériser à 15 m. Pulvériser du gel à 15 m de haut n’est pas à la portée de tout le monde. Suite à ce traitement le bois change de couleur et devient un peu couleur acajou. Le 15 avril la charpente prend feu et brûle en faisant un bruit très important pour un feu de bois situé en hauteur. Ce bruit gêne les reporters les obligeant à s’éloigner pour faire leur travail. Assez significativement le feu augmente au moment où les pompiers sont intervenus comme si l’eau activait les flammes. La charpente est en chêne ors le chêne sec ne fait pas de flamme, il rougeoie d’où l’intérêt d’un tel bois pour les cheminée car c’est un feu qui dure très longtemps : une buche de chêne peut tenir facilement un feu toute la nuit. Il m’est arrivé de faire tenir 12 heures une bonne bûche dans ma cheminée. Des vidéos de bonne foi (non truquées) (caméra Survey) montreront par la suite une personne sur le toit de la cathédrale s’activant avec du feu sous forme d’éclairs ou au moins de grosses lueurs très brèves et jaunes-orangées comme seront les flammes de la charpente ensuite, après le départ des ouvriers. Puis cette personne disparait. L’entreprise, qui a désinsectisé a été bernée en répandant non pas un produit désinsectiseur mais un produit pyrotechnique qu’on lui a obligatoirement fournit car elle n’est pas en mesure de le produire sur le plan chimique. Le produit de type « thermite » est composé d’oxyde de fer et d’oxyde d’aluminium ce qui donne la couleur acajou obtenue après la pulvérisation et la couleur des flammes jaunes-orangées de l’incendie. Depuis Février le produit sans doute associé à une colle a séché et s’est solidifier sur les poutres comme une pâte devenue très fine, une sorte de vernis, sauf que ce n’était pas du vernis…. Le 15 avril, il ne suffisait plus que d’un vrai « pot thermique » générant une chaleur intense de 2200 degrés pour percer la toiture par sa très forte température et allumer ainsi toute la charpente pré-imbibée située nécessairement juste en dessous du toit. Le pot thermique c’est la personne vue sur le toit avec des flammes jaunes-orangées qui met le feu. En fait toute la charpente était un pot thermique avec cette fausse désinsectisation. Pour avoir montré a