Marion Sigaut – Qui veut la mort de Vincent Lambert ?
19 juin 2019 13:01, par Heureux qui, comme Ulysse...L’affaire Vincent Lambert, puisqu’il faut bien l’envisager ainsi, ne se résume pas à une simple opposition entre ceux qui sont pour la vie et les autres qui sont pour la mort (pas la leur).
A y regarder de plus près, on constate que rarement, même en république maçonnique, tous les ingrédients utiles à l’avancée du projet mortifère de la secte luciférienne auront été réunis d’une manière aussi exhaustive.
Comme j’ai déjà tenté de l’expliquer à de nombreuses reprises, c’est ici encore la fonction ET qui doit être appliquée dans la recherches des causes multiples, subalternes et profondes, de cette affaire car elles ne s’excluent pas entre elles.
Elles sont donc d’abord philosophiques, religieuses, morales, juridiques, et donc politiques mais aussi, criminelles, économiques, passionnelles, et donc d’ordre privé.
Ce qui doit interpeller les lucides est bien le caractère inédit de cette occurrence.
Un exemple me direz-vous ? La loi Léonetti fut adoptée à l’unanimité… fait unique pour une loi sociétale sous le régime actuel !
En effet, en matière juridique, jamais une telle débauche de perfidie n’aura été utilisée pour parvenir à terme à l’euthanasie pour tous, et ce, depuis le départ avec la présence du taulier de la maison jaune dès 2002. Le double langage maçonnique (d’une perversité qui confine véritablement au génie) avec l’interprétation frauduleuse possible de la loi Léonetti était déjà contenu dans l’embryon d’arsenal législatif au moment de son adoption. C’est pourquoi, personne ne devra être surpris de voir le président micron bafouer aujourd’hui la Constitution en ne tenant pas son rôle de garant des traités ratifiés par la France.
On constate aussi une surreprésentation de la communauté des vendeurs de pantalons à une jambe qui, là encore, dépasse leur culte du Veau d’or. Il y a un acharnement dans cette affaire que le juteux trafic d’organes ou la volonté du réduire le goy ne suffisent pas à expliquer. On relèvera, détail de l’histoire, que le père de Vincent est un gynécologue qui fut opposé par le passé à la loi Veil.
Enfin, et toujours pour illustrer, le neveu pro-euthanasie revendique bénéficier de l’aide juridictionnelle mais aussi être avocat stagiaire chez Me Chemla… qui n’exclut pas de l’embaucher par la suite.
Tout n’est donc pas si simple et seul un travail de fond permettra de faire toute la lumière sur cette affaire