L’Iran et la crise du détroit d’Ormuz
5 août 2019 23:50, par anonyme
J’ai écouté jusqu’au bout Mr Perrin, et le résultat est à peu près le même que dans les champs de courses hippiques.
Il a surtout parlé des chevaux, de leurs performances, des jockeys mais pas du fumier, du fumier de propriétaire qui a engagé trois ou quatre chevaux (pays) pour gagner cette putain de course (l’argent du pétrole) sans même prendre le risque d’être le principal favori ou même de tomber.
Pour les amis turfistes d’E&R juste un tuyau, la photo finish c’est toujours la même.