J’ai du mal à comprendre cet apparent soutien d’ E & R à cette ministre-là. Personne ne conteste l’affluence des services d’urgence. Mais dès lors qu’il est établi que cette pratique relève de l’abus, il serait si simple d’infliger des pénalités financières à tout patient, dont il s’avère que le caractère urgent de la visite, n’était pas établi. Ce n’est quand-même pas à l’ État qu’on doit expliquer les stratagèmes dissuasifs.
Au lieu de cela, si j’en crois le 13 heures de Fr2, on tente de désengorger les urgences en excluant de ce service, les vieux en EHPAD, qui eux seront relégués aux... consultations en vidéo-conférence, urgence ou pas ! Pensez donc... des vieux Pffff !!!!
Pour nous rassurer on nous dit, que via une tablette connectée, le malade pourra consulter un médecin, lui fut-il parfaitement inconnu. Bonjour la qualité des soins, voire du diagnostic !!
Assisté, précise-t-on, par une aide-soignante, dont on nous assurait, voici quelques jours, qu’elles n’ont même plus le temps de sourire aux patients. Voilà qui promet !!!