Pour comprendre l’arnaque que constitue la pratique comptable en ex-France il est nécessaire de revenir à la source.
Quel fut le premier acte réellement politique (trahison) de Mitterrand à son arrivée sur le trône (effectivement, des latrines dans le cas présent) ripoublicain ?
LA LIBERALISATION DE LA BOURSE.
Qu’a-t-on vu arriver ensuite ?
LE PLAN COMPTABLE GENERAL DE 1982.
Késako ? Diront les profanes.
C’est très simple en fait, il s’agit, en imposant définitivement le principe de l’enregistrement en partie double, de déconnecter complètement la production de richesse réelle du volet financier des entreprises.
Ainsi, par ce tour de passe-passe, une dette devient une ressource et une entreprise qui ne produit aucune richesse peut représenter une capitalisation boursière sans limite (du vent en fait).
Merci aux humanistes de gôôôche qui font tout pour le bonheur du petit peuple dont ils se revendiquent être les représentants.
Après, je ne ferai à personne cet affront qui consisterait à se demander combien de non affiliés à la communauté des excités de la truelle ou celle des vendeurs de pantalons à une jambe ont participé à cette entreprise vertueuse...