Cette vidéo résume pourquoi j’aime et je n’aime pas les anglosaxons à la fois. Je les aime pour leur humour, leurs capacité à rêver plus intacte que chez le français qui "apprend à être malheureux, gentillement" pour citer Cioran.
Mais, là où le français est complémentaire c’est qu’un discours aussi simpliste ne passerait pas avec lui. C’est pour ça que j’aime Alain Soral, qui arrive à créer des liens pertinents historiques et même philosophique pour expliquer la déchéance actuelle.
Sans le fond soralien (et de bien d’autres), je ne vois qu’un type de plus qui essaie de vendre son livre de "self developpement".
Pour moi le désarrois français tient beaucoup au sionisme ambiant, qui, très concrètement malmène les coeurs et belles naïvetés autochtones dès la cours de récréation. Car le sionnisme ce n’est pas que DSK renvoyant la baballe à Sarkozy, ce sont des ados, des enfants même qui obsèdés dès le plus jeune âge par le "vous" et le "nous" brisent à la source toute la beauté "universaliste-chrétienne" des pays sous "dictature sioniste à tous les étages" pour reprendre Paul-Eric Blanrue.