Le b.a.-ba de Béa Bach #1 – L’effet biologique de l’amour
27 septembre 2019 21:29, par AntiPoncif
Jolie voix mais j’ai pas l’impression que l’on sort des poncifs habituels : le stress c’est mal, l’anxiété c’est mal, la souffrance c’est horrible.
Alors qu’on ne grandi pas sans épreuve. Pour les bébés je veux bien mais ensuite il faut un père dur à souhait qui va rendre son enfant anxieux peut être, à l’image du Christ dans le jardin des oliviers, mais aussi adulte et gentil.